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Michel Kamano aperçu lors de la réouverture de Notre-Dame de Paris : un ancien haut responsable guinéen sous le coup de poursuites judiciaires

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Le jugement « N° 193 du 19 juillet 2024 » rendu par défaut par le Tribunal de Première Instance de Dixinn qui annule la décision d’exclusion de Ousmane Gaoual Diallo de l'UFDG en date du 1er juin 2022 prise par le Conseil Politique de l'UFDG et sa réintégration dans les instances du Parti fait l'objet de débats passionnés dans la cité.
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Actualités de Guinée Conakry. Nouvelle République de Guinée, www.nrgui.com Le Collectif Touche pas à ma Constitution, tous anciens conseiller du Conseil National de la Transition (CNT), était ce vendredi 29 mars 2019, face aux médias. C’était dans la salle Mohamed Koula Diallo de la maison de la presse de Guinée.
A cette rencontre, les conférenciers ont adressé un message clair aux prétendants d’une nouvelle constitution.
« Pour changer la monarchie et revenir à l’ordre de l’Etat et de la république, ça été un combat de longue lutte dont il ne faut pas fragiliser et mettre ça dans un contexte revisable et au souhait des groupes politiques. Aujourd’hui, toute l’Afrique a brulé par l’effet de l’accaparement des pouvoirs par les dirigeants qui ne veulent pas le jeu politique dont l’un des fondements essentiels est l’alternance et les élections transparentes. Le CNT, a réussi sous une forme intengible la durée et le nombre de mandat du président de la République », indique Boubacar Siddighy Diallo, ancien rapporteur du CNT.
Yaya Diallo & SNB pour www.nrgui.com
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On ne peut donc parler de souveraineté économique, quand les principales banques du pays sont contrôlées par des capitaux étrangers.
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Une certaine presse se fait l’écho d’un article intitulé « Gestion Opaque des entreprises publiques : Alpha CONDE et Kassory face à l’histoire » sous la plume d’un maître chanteur connu pour ce type de publication diffamatoire. On ne peut s’empêcher de pouffer de rire, tant le ridicule qui le caractérise frise un profond malaise.
Cet article qui se veut être un dossier n’a manifestement pas fait l’objet d’investigations vu le gouffre abyssal entre ses affirmations et la vérité. En réalité, il se résume à des attaques acerbes et non fondées contre une seule personne, le directeur du FER, à ne pas confondre avec celui de la Direction Nationale de l’entretien routier dont il ignore la vraie mission. Pour s’attaquer au niveau intellectuel d’une cible, comme cela a tout l’air d’être le cas ici, ce maître chanteur devrait faire preuve d’un minimum de compétence dans le domaine qu’il brandit comme étant le sien : le journalisme. Ce qui voudrait dire dans son cas, d’écrire un texte qui honore le lecteur. Or l’article, sur le plan de la rédaction ne fait pas honneur au métier, ni au site qui l’héberge, mais au contraire, met à nu une médiocrité sans pareille.
En investiguant juste un peu sur la toile, moi je l’ai fait, il est loisible de trouver qu’avant d’être honoré pour occuper cette fonction, la cible du jour était un haut cadre évoluant dans le secteur privé et bien évidemment, il le restera et les injures d’aucun mercenaire de la plume n’y changeront rien.
Sur le fond, cette compilation de diffamations, pour ne pas dire article sur les entreprises publiques ne correspond nullement à la nomenclature et aux règles définies par la Loi 056 sur la Gouvernance Financière des sociétés et établissements publics.
Sur le plan Economique, quel Etat, non producteur de pétrole, avez-vous vu se priver de la taxe sur les produits pétroliers ? Une telle affirmation vise simplement à intoxiquer l’opinion publique.
Les commanditaires de ce torchon d’article, lâchement tapis dans l’ombre, sur lesquels l’auteur donne quelques indices (de passage, on le remercie pour cela. on y reviendra la prochaine fois), lui font soutenir que la dégradation des ponts et tous les problèmes du réseau routier sont de la faute et de la responsabilité du FER, institution qui serait simplement une caisse dont la mission est de payer aveuglément les factures à lui soumises ; il pouvait relever lui-même la contradiction de ses propos.
Qu’il retienne juste que cette ‘’caisse’’ fonctionne selon des règles précises, conformément aux règles de comptabilité de l’OHADA, auditée et inspectée. Toutes ces informations sont disponibles sur Internet.
S’il avait pris un minimum de peine pour s’informer (comme je l’ai fait les doigts dans le nez) ou de suivre sa propre logique de raisonnement, il aurait relevé que la programmation n’est pas de la responsabilité du FER.
Ce FER dont il soutient sans preuve qu’il ne sert qu’à financer des personnes ou un parti politique, a engagé en deux mois plus de 40 milliards pour financer les travaux d’urgence auxquels l’auteur fait allusion. Il aurait pu au moins relever cela.
L’auteur cite avec précision les ressources mobilisées en 2017 pour financer les travaux d’entretien de 4 Maîtres d’ouvrage repartis entre 3 Ministères (Ses commanditaires semblent curieusement très proches du dossier, on y reviendra, c’est une promesse). Là, je le rejoins. C’est bien la preuve que les ressources mobilisées et dépensées par le FER ne font l’objet d’aucun secret puisqu’elles sont publiées, y compris sur le site qui se fait souvent porteur de ces propos diffamatoires.
Je ne m’étalerais pas plus. J’ose espérer qu’à l’avenir, il prendra au moins la peine de demander à ses mandants, réels auteurs de l’article, de lui fournir un minimum de preuve pour ses prochains « dossiers ».
Solo Niaré

