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Deux pays africains, alliés de Vladimir Poutine, ne permettront pas aux troupes russes de stationner sur leur territoire. Une décision qui complique davantage la position géopolitique du président russe après la chute de Bachar al-Assad, un autre allié.

Le Soudan a officiellement rejeté le projet de construction d'une base navale sur la côte de la mer Rouge, dans la ville de Port Soudan. C'est ce qu'a rapporté le Moscow Times du 18 décembre, citant une source des services de renseignement soudanais.

Bien que la Russie ait proposé des systèmes anti-aériens S-400 pour faire pencher la balance en sa faveur, le Soudan est resté ferme sur sa décision, craignant d'éventuelles sanctions occidentales.

La Libye ne sera pas un champ de bataille international

Suite à ce revers, la Russie a tourné son attention vers la Libye qui, à l’instar du Soudan, a également rejeté cette proposition.

"Aucun patriote n'accepte l'entrée d'un pays étranger et impose son hégémonie, et nous n'accepterons l'entrée d'aucune force étrangère sauf par le biais d'accords officiels et à des fins de formation. Toute partie qui entre en Libye sans autorisation ni accord sera combattue. Et nous ne pouvons pas accepter que la Libye soit un champ de bataille international", a déclaré le Premier ministre libyen Abdul Hamid Dbeibeh lors d'une conférence à Tripoli.


 
 
 
 
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lLe 1ᵉʳ décembre 1944 est une date sanglante pour le peuple sénégalais, d’autres anciennes colonies françaises ont tout aussi leurs dates sanglantes à l’instar du Cameroun, de l’Algérie, de Madagascar, etc. Tous ces pays déplorent l’impunité de la France et le silence des grandes instances juridiques Internationales. Le “Tribunal Pénal International des Crimes Coloniaux (TPICC)” serait fondé sur la base de l’article sept de la Déclaration universelle des droits de l’homme, pour ne citer que celui-ci là. Je vous explique ce que ce tribunal changerait dans ce “Point Final très très conventionnel. (Générique ! 😄)

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Tirailleurs sénégalais. Via RFI

Thiaroye et les silences complices : une mémoire occultée

Le massacre de Thiaroye, survenu le 1ᵉʳ décembre 1944, est bien plus qu’une tragédie isolée. C’est le symbole d’un système colonial violent, d’un mépris institutionnalisé envers les peuples africains, et d’un silence pesant des grandes institutions internationales et nationales. Si la répression sanglante de Thiaroye choque par son injustice, elle n’est qu’un chapitre d’une histoire plus vaste de répressions meurtrières orchestrées par la France en Afrique subsaharienne. Du Cameroun au Sénégal, en passant par Madagascar, ou encore l’Algérie, ces tragédies restent enfouies dans un mutisme qui interroge.

Thiaroye, un contentieux historique parmi d’autres

Thiaroye fut le théâtre d’une exécution sommaire de tirailleurs sénégalais demandant leurs soldes légitimement dues après avoir combattu pour la France. Mais ce n’est pas un cas isolé. Au Cameroun, entre les années 1950 et 1970, la répression des militants indépendantistes de l’Union des Populations du Cameroun (UPC) fut d’une brutalité inouïe. Des figures comme Ruben Um Nyobé, Félix Moumié, et Osende Afana furent traquées, assassinées ou exécutées. Le gouvernement français, sous couvert de lutte contre des « insurgés », mena des campagnes de répression qui firent des milliers de morts, incluant des villages rasés et des populations civiles massacrées. Ces événements, que l’historien camerounais Achille Mbembe qualifie de génocide politique dans le chapitre de son essai Critique de la raison nègre, restent largement absents des récits historiques officiels en France.

En parallèle, les répressions en Algérie, à Madagascar (1947), ne font qu’illustrer la mécanique brutale du maintien colonial. Ces épisodes interrogent la mémoire collective et l’incapacité de la France à assumer pleinement ses responsabilités historiques.

Silence complice des institutions internationales

Face à ces drames, le silence des grandes organisations internationales est assourdissant. Les Nations Unies, ou encore la Cour Pénale Internationale (CPI) pourtant garantes des principes de justice et des droits humains, n’ont jamais exigé de la France une reconnaissance claire ou des réparations. De même, l’Union européenne, malgré son engagement pour les valeurs démocratiques, est restée muette face à ces pages sombres de l’histoire coloniale.

L’Union africaine, institution censée défendre les intérêts du continent, n’a jamais réussi à obtenir un consensus pour exiger des excuses officielles ou des réparations de la part de la France. Ce silence trahit souvent une dépendance économique ou diplomatique vis-à-vis de l’ancien colonisateur. Selon le Centre d’études stratégiques de l’Afrique: « L’Union africaine devra surmonter un manque de volonté politique et relever des défis structurels afin de réagir efficacement aux crises de sécurité sur le continent, conformément à sa mission fondatrice.”

Lire aussi : Massacre de Thiaroye: le comité de commémoration réclame «la vérité et toute la vérité»

Une mémoire fragmentée et une responsabilité esquivée

Les gestes symboliques, tels que les reconnaissances partielles par François Hollande ou Emmanuel Macron, sont jugés insuffisants. Au Sénégal, la mémoire de Thiaroye reste vive, mais elle est instrumentalisée, selon certains intellectuels, pour éviter une véritable introspection. Bien que l’historienne Armelle Mabon préconise qu’il faut absolument passer par la reconnaissance totale du massacre de Thiaroye au Sénégal, cette reconnaissance devrait être suivie des mesures politico-juridiques claires.

Au Cameroun, où la répression coloniale a été particulièrement sanglante, les archives concernant les massacres de l’UPC restent enfouies dans les fonds confidentiels de l’armée française. Selon le journaliste Thomas Deltombe, cette guerre secrète, qui a pourtant fait des dizaines de milliers de victimes, est passée inaperçue à l’époque où elle se déroulait et les traces qu’elle a laissées ont été méthodiquement effacées.

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Les tombes des tirailleurs sénégalais tués le 1er décembre 1944 par l’armée française au cimetière militaire de Thiaroye à Dakar. © AFP – GEORGES GOBET

Reconnaissance et réparations : au-delà du symbolisme

Pour les familles des victimes, la reconnaissance n’est qu’un premier pas. La justice ne se limite pas à des excuses. Elle passe par des réparations concrètes : indemnisations, ouverture des archives, et enseignement de ces épisodes dans les programmes scolaires. Mais pour des intellectuels comme Mamadou Diouf : « Le massacre des tirailleurs est une histoire partagée, qui nourrit une pédagogie pour édifier les fondations de l’intégration africaine », a-t-il déclaré lors de la commémoration. La réparation, selon l’historien sénégalais, devrait donc aller au-delà de simples excuses et d’une reconnaissance d’un fait historique, mais de rompre avec des logiques néo-coloniales où la France maintient son influence sur les économies et politiques africaines.

L’Afrique, un nouveau théâtre de luttes d’influence

Alors que les pays africains cherchent à diversifier leurs partenariats en s’ouvrant à des puissances comme la Chine et la Russie, le massacre de Thiaroye et les répressions camerounaises offrent une leçon : le rejet du passé colonial ne peut réussir sans une souveraineté véritable. Des analystes comme Bakary Sambé, directeur du Timbuktu Institute de Dakar, reste tout de même prudent et s’interroge : « Est-ce que la Russie accorderait le même intérêt à l’Afrique si la guerre en Ukraine se terminait ? », est-elle une « vraie priorité stratégique » ou un intérêt conjoncturel lié à son bras de fer avec l’Occident ? » Même si la question de la pérennité de la collaboration de l’Afrique avec la Russie a lieu d’être, il n’en demeure pas moins que la Russie, tout comme la Chine, s’intéresse à l’Afrique bien avant la guerre en Ukraine.

Une bataille pour la dignité

À lire aussi : Belgique: l’Etat condamné pour le placement forcé d’enfants métis au Congo pendant la colonisation (cour d’appel)

Thiaroye, le Cameroun, Madagascar : ces épisodes ne sont pas que des pages sombres de l’histoire. Ils sont des miroirs qui reflètent les rapports de force actuels entre l’Afrique et ses anciens colonisateurs. Pour que la mémoire apaise les blessures, il faut une volonté politique et collective d’affronter ces vérités. Mais pour que l’histoire ne se répète pas, il faut aussi une transformation concrète profonde des relations internationales via la création d’un Tribunal Pénal International pour les Crimes Coloniaux (TPICC).

La création d’un tel tribunal pénal international serait un pas vers un nouvel ordre mondial : multipolaires, inclusif, avec des populations apaisées et des dirigeants en phase avec leurs principes moraux, idéologiques, politiques, et d’anciens colons, loin d’occulter, mais prêts à affronter et d’assumer leur passé colonial.

La reconnaissance des crimes coloniaux est un devoir. La justice, une obligation. La dignité des peuples, un impératif. Point Final.

N.B. : Le document de plaidoyer pour la création d’un « Tribunal Pénal International pour les Crimes Coloniaux (TPICC) est disponible sur simple demande à l’adresse e-mail suivante : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

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DAKAR-Au Sénégal, Amadou Bâ, candidat de la coalition présidentielle Benno Book Yaakar (BBY), a annoncé tard dans la nuit qu’il donnera une appréciation définitive sur les résultats du scrutin présidentiel de ce dimanche 24 mars 2024.

 Cette sortie est intervenue alors que Bassirou Diomaye Faye, candidat de l’opposition est donné « vainqueur » de l’élection dès le premier tour, avec au moins 56% des voix selon des chiffres non encore officiels.

« Respectons les lois de la République, respectons le jeu démocratique et le verdict des urnes. Je suis en train de travailler sur les remontées (des résultats), nous avons des informations. Demain au plus tard à midi, je reviendrai ici pour vous donner une appréciation définitive », a déclaré le candidat de l’APR, le parti du Président sortant, tard dans la soirée.

Dès la fermeture des bureaux de vote, les premières tendances se sont accordées sur une probable victoire du candidat du PASTEF. Ses partisans ont jubilé ( à lannonc de) ce « plébiscite » tout au long de la soirée électorale alors qu’au moins cinq candidats ainsi que des hommes politiques tels que le fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, ont aussi félicité le candidat du parti de Ousmane Sonko pour sa « victoire ». Mais Amadou Bâ s’abstient pour le moment de toute déclaration hâtive sans avoir le cœur net avec des éléments précis.

 

« Je ne me prononce pas (sur les résultats) sans avoir tous les éléments. Le peuple sénégalais a fait preuve de maturité en votant dans le calme. Je suis respectueux du droit, de la république et de ses instituions. Je vous demande de rester calmes, de garder votre sérénité », a-t-il lancé à l’endroit de ses partisans rassemblés à son QG.

A suivre !

Africaguinee.com

Créé le 25 mars 2024 03:27
Relu par SNB pour www.nrgui.fr
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La différence entre un pays développé et les pays en développement (du sous-développement), c’est qu'un pays, comme la France, peut rester stable, sans Premier et avec des ministres démissionnaires « expédiant les affaires courantes » pendant plus de 50 jours :

Les transports en communs, comme les avions, les trains, les trams, les autobus, les véhicules personnels y compris les bicyclettes et autres « deux roues », assurant le trai-train-quotidien qui donne vie à l’abondance du « métro-boulot-dodo.

C’est dire que les société développées ayant assuré l’abondance des transports, snt à la recherche de l’abondance des loisirs, tels que les Olympiades et même les paralympiades, cependant, il faut y insister, il n’y a politiquement ni ce super chef de l’exécutif (Ici Macron), ni « Premier ministre qui détermine et conduit l’action du gouvernement », sur la base d’une majorité à l’Assemblée nationale).

Après cette récréation, le Président Macron vient de nommer un Premier ministre, Michel Barnier, alors que le président, et son Premier ministre sont figure de Don Qichotte et de pieds nickelés face aux extrêmes à Droite et à Gauche.

Le grand écart de Barnier ou Zorro entre Le Pen et Mélenchon ?

Alors qu’en Afrique, Mama de l’Humanité, il suffit d’un coup de pétard mouillé pour que Goliath fasse un pas géant de 65 ans en arrière. Aussi, il n’est pas exclu que la France trouve de géniales galéjades pour apurer les 100 milliards qu’auront coûté cette parenthèse de préau livré à des pitchouns en goguette autour de la Bastille..

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Plusieurs pays dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord ont appelé à la retenue après l’offensive du Hamas sur Israël et les représailles qui ont suivi, la plupart blâmant l’Etat israélien et célébrant l’offensive militaire surprise.

Il s’agit de l’escalade la plus meurtrière depuis la guerre de 11 jours de mai 2021 entre le Hamas et l’armée israélienne.

« Nous sommes en guerre et nous la gagnerons », a déclaré le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu.

« Nous sommes sur le point de remporter une grande victoire », a affirmé pour sa part Ismaïl Haniyeh, le chef du mouvement islamiste Hamas, au pouvoir sur la bande de Gaza depuis 2007. Voici un aperçu des réactions dans la région:

Union africaine

Le président de la Commission de l’Union africaine Moussa Faki Mahamat a appelé à la fin du conflit entre Israël et le groupe palestinien Hamas, qui a fait des centaines de morts depuis samedi.

Moussa Faki Mahamat a appelé les deux parties « à revenir, sans conditions préalables, à la table des négociations pour mettre en œuvre le principe de deux Etats vivant côte à côte », dans un communiqué publié samedi soir par le bloc de 55 membres sur X (ex-Twitter).

« Le président appelle en outre la communauté internationale, et les grandes puissances mondiales en particulier, à assumer leurs responsabilités pour imposer la paix et garantir les droits des deux peuples », est-il indiqué dans le communiqué.
Egypte
Médiateur traditionnel dans le conflit israélo-palestinien, Le Caire a appelé les deux parties à « faire preuve de la plus extrême retenue », mettant en garde contre « le grave danger de l’escalade en cours ».

Le président Abdel Fattah al-Sissi a mis en garde « contre le danger d’une nouvelle détérioration de la situation », et le chef de la diplomatie, Sameh Shoukry, s’est entretenu au téléphone avec ses homologues jordanien, émirati, turc, allemand et français, ainsi qu’avec le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell.
Jordanie
Lors d’un appel téléphonique avec le président américain Joe Biden, le roi de Jordanie Abdallah II a discuté des « moyens de mettre fin à la dangereuse escalade et de protéger les civils ». Il a également souligné « la nécessité (…) de trouver un véritable horizon politique pour parvenir à la paix sur la base de la solution des deux Etats ».

La Jordanie et l’Egypte ont été les deux premiers pays de la région à conclure des accords de paix avec Israël.

Emirats arabes unis
Les Emirats arabes unis, qui ont normalisé leurs relations avec Israël en 2020 dans le cadre des accords d’Abraham, ont appelé à « un cessez-le-feu immédiat » et à « faire preuve de la plus grande retenue ».

Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères a souligné l’importance de protéger les civils.

Maroc
Le Maroc, qui a également rejoint les accords d’Abraham et établi des relations diplomatiques avec Israël, « exprime sa profonde préoccupation suite à la détérioration de la situation et au déclenchement des actions militaires dans la bande de Gaza et condamne les attaques contre les civils d’où qu’ils soient », selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères.

 

Ligue arabe
Le chef de la Ligue arabe, Ahmed Aboul Gheit, a demandé « l’arrêt immédiat des opérations militaires à Gaza » et « l’arrêt de la confrontation armée entre les deux parties ».

« La poursuite par Israël de politiques violentes et extrémistes est une bombe à retardement qui prive la région de toute possibilité sérieuse de stabilité », a-t-il ajouté.

Arabie Saoudite
« Le royaume appelle à l’arrêt immédiat de l’escalade entre les deux parties, à la protection des civils et à la maîtrise de soi », selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères.

Ryad s’est fait l’écho des déclarations d’autres Etats de la région, dont le Koweït, l’Irak, le Qatar et Oman, ainsi que de l’Organisation de la coopération islamique (OCI), selon lesquelles l’attaque de samedi était « le résultat de la poursuite de l’occupation et de la privation du peuple palestinien de ses droits légitimes ».

Ces violences surviennent alors que les spéculations vont bon train sur une normalisation imminente des relations entre Israël et l’Arabie saoudite.

Syrie
Damas a qualifié l’opération du Hamas de « guerre contre le terrorisme » et de « réussite honorable qui prouve que le seul moyen pour les Palestiniens d’obtenir leurs droits légitimes est la résistance sous toutes ses formes ».

La Syrie a également exprimé son « soutien » au peuple palestinien et aux forces « qui luttent contre le terrorisme sioniste ».

Iran
Un haut conseiller du guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, a exprimé son soutien à l’attaque.

« Nous soutenons cette fière opération », a déclaré le général des Gardiens de la révolution, Yahya Rahim-Safavi.

Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Nasser Kanani, a lui aussi salué l’offensive du Hamas.

Yémen
Les rebelles Houthis qui contrôlent la capitale Sanaa ont déclaré qu’ils soutenaient « l’opération héroïque des jihadistes », une « bataille de la dignité, de la fierté et de la défense ».

Dans une déclaration publiée sur leur agence de presse officielle, les rebelles ont affirmé que l’attaque « révélait la faiblesse, la fragilité et l’impuissance » d’Israël.

AFP