Vote utilisateur: 5 / 5

Etoiles activesEtoiles activesEtoiles activesEtoiles activesEtoiles actives

Docteur, El Hajj Mamadou Cissoko Thierno Macki Sossoko, Diéli Kaou Cissoko, grand ami d'Aguibou Shaykou El Hajj fils d'El Hajj Omar al Foutyou.

La soutenance de sa thèse de Doctorat fut un évènement en Union soviétique. La maquette d'architecture etait un chef-d'œuvre en cette matière. Ce génie est illustréfut dans la rénovation de la célèbre mosquée de Dinguiraye, dont il coordonna les travaux.
Après la coupe des fameux caïlcédrats de la Cité sainte, El Hajj Mamadou Cissoko couvrira de sa généreuse houpe de Baobab, Dinguiraye..
Was-Salam.
Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives
 
Des heurts à Sonfonia, image d'archive Un adolescent a été tué par balle ce lundi 26 février 2024 dans des heurts survenus dans la haute banlieue de Conakry, en marge de la grève générale déclenchée par le Mouvement syndical guinéen.
 

La victime s’appelle Mamady Keita, élève en 10ème année. (Image d’archive).

Ce jeune collégien a été touché par balle à Sonfonia. Il a succombé à ses blessures vêtu de sa tenue scolaire. Son corps se trouve à la morgue de l’hôpital Donka, a appris Africaguinee.com de sources proches de la famille.

 

Selon nos informations, un autre jeune a été touché par balle dans le même quartier.

A suivre…

Africaguinee.com

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

Médias. Des journalistes demandent des comptes à Antonio Souaré

 Le collectif des journalistes de CIS Médias qui réclament leurs indemnités, étaient devant l’hôtel d’Antonio Souaré, siège du groupe SAM-GBM, à Kaloum ce mardi.

Des papiers A4 en guise de pancartes à la main, ces derniers demandent leur argent. On pouvait lire des slogans tels que : « Donnez nous argent » ou « notre patience a des limites ».

Aussitôt, des bodyguards de l’homme d’affaires ont bloqué l’entrée des lieux.

Pierre Fatewa Diawara, le porte-parole du collectif a expliqué les raisons de leur présence :: « le versement qui devrait se faire le 25 juin a été éclaté en plusieurs tranches. Jusqu’à ce jour, le reste de l’argent du mois de juin n’est pas payé. L’échéance du 25 juillet n’est pas payée alors que nous sommes à 5 jours de l’échéance d’août. Le pire dans cela, c’est que nous appelons, personne ne daigne nous répondre, personne ne nous dit pourquoi le délai n’est pas respecté. Cela fait maintenant un mois que j’appelle le Directeur de CIS Médias, il ne répond pas. Monsieur avec lequel j’étais en contact n’est plus joignable.

Donc, en ce moment où je vous parle, nous n’avons aucun interlocuteur avec qui échanger. Le Directeur de CIS qui est normalement l’intermédiaire ne répond plus aux appels. Mais à chaque fois qu’il s’agissait de l’argent, ils nous disaient qu’Antonio ne leur a pas donné l’argent. On a compris que finalement, c’est Antonio qui donne l’argent et, comme c’est lui aussi le propriétaire, nous avons décidé aujourd’hui de venir battre le pavé ici. »

Pour finir, ce journaliste a annoncé des actions futures C’est possible qu’on aille jusqu’à la justice pour réclamer notre argent. »

Etoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactivesEtoiles inactives

 

CONAKRY- C’est une journée décisive pour le mouvement syndical guinéen qui déclenche ce lundi 26 février 2024, une grève générale et illimitée sur toute l’étendue du territoire national. Il exige des autorités de la transition, la libération du Secrétaire Général du SPPG, Sékou Jamal Pendessa, la levée de la restriction d’internet et le brouillage des médias, la baisse des prix des denrées de première nécessité et le respect de l’accord du 15 novembre 2023.

Alors qu’il est 10h passé, la situation est globalement calme à Conakry, mais les activités économiques sont impactées par le mot d’ordre. La sécurité a été drastiquement renforcée par endroit par les autorités notamment dans les zones habituellement réputées chaudes à Conakry
https://www.africaguinee.com/app/uploads/2024/02/IMG-20240226-WA0067-300x138.jpg 300w, https://www.africaguinee.com/app/uploads/2024/02/IMG-20240226-WA0067-768x354.jpg 768w, https://www.africaguinee.com/app/uploads/2024/02/IMG-20240226-WA0067.jpg 1280w" sizes="(max-width: 822px) 100vw, 822px" style="box-sizing: border-box; border-style: none; width: 579.333px; display: block; object-fit: contain;" />
L’était de la circulation sur la dorsale Nord Kipé-Taouyah

De Cosa-carrefour en passant par Koloma, plusieurs pickups de la police, de la gendarmerie sont stationnés. Il y a même un camion à eaux garé au carrefour Cosa, mais pour l’heure il n’y a pas d’incidents.

Si certains citoyens vaquent à leurs affaires il faut dire que les boutiques, les magasins et les petits kiosques sont complètement fermés. En revanche, les marchés à condiments et les stations-services sont ouverts.

La circulation est fluide, mais certains conducteurs de taxi ont préféré bouder le mot d’ordre lancé par le mouvement syndical. « Personnellement, je ne peux observer la grève parce que si je ne travaille pas je ne peux pas nourrir ma famille. Donc, il n’y a pas de grève chez moi« , a lancé ce chauffeur alors qu’il prenait des passagers pour Madina. Dans les écoles, certains encadreurs ont préféré libérer les apprenants.

Un constat quasi-identique se dégage sur l’autoroute Fidèle Castro où certains véhicules de transports en commun tels que les Magbanas (minibus) circulent, selon nos constats. Toutefois, la circulation est morose.

Dans les gares routières de Conakry, le constat révèle un climat morose. Nous sommes à la gare routière d’Entag. Là, tous les véhicules sont stationnés. Aucun ne prend de passagers.

Le mot d’ordre de grève est suivi à la lettre. Un responsable syndical de la ligne Kindia a confié qu’aucun véhicule ne bougera de cette ligne.

Sur la corniche nord (Sonfonia-Kipé-Hamdallaye) le trafic routier n’est pas dense comme d’habitude. Si les conducteurs de taxis ont largement suivi le mot d’ordre de grève, en revanche les mototaxis et quelques tricycles travaillent.

Selon nos constats, les grands magasins sont fermés ainsi que les banques. Il n’y a que quelques boutiques qui sont ouvertes. Les activités économiques sont largement perturbées même au niveau des marchés. C’est le cas à Taouyah et à Kobayah.

Sayon Camara&

Mamadou Yaya Bah

Pour Africaguinee.com

Créé le 26 février 2024 09:47

Sous-catégories